Ressources pédagogiques

Curation

Publié le

27

July

2022

July 27, 2022

Les 3 ressources pédagogiques préférées des apprenants en 2024

La moitié de l’année est écoulée et les apprenants ont fait leur choix. Voici les 3 ressources qu’ils ont préféré jusqu’à maintenant !

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7

October

2024

October 7, 2024

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Chaque mois, nos experts pédagogiques font la curation des meilleurs contenus du web et envoient ces sélections à nos clients pour partager leurs trouvailles avec les apprenants. Alors que 6 mois se sont déjà écoulés, ces derniers ont eu l’occasion de consulter de nombreuses ressources. Nous avons choisi de vous partager leur top 3 des meilleures ressources de ce premier semestre ! En tête d’affiche : gestion du temps, diversité et inclusion, et émotions au travail.

Au royaume de l’efficacité : délégation et gestion du temps

Si transformer le temps qui passe en un véritable allié n’est pas inné, il existe des méthodes simples pour devenir plus performant sans agir en bourreau du travail.

Parmi ces méthodes, la matrice d’Eisenhower. Outil incontournable et simple d’utilisation, il permet de prioriser selon deux axes : l’urgence d’une tâche et son importance. On se retrouve alors avec quatre cadrans indiquant l’ordre de traitement à privilégier pour des missions :

  1. Les tâches importantes et urgentes,
  2. Les tâches importantes, mais non urgentes,
  3. Les tâches non importantes, mais urgentes,
  4. Les tâches non importantes et non urgentes.

Naturellement, il s’agira de se pencher avant tout sur les tâches importantes et urgentes.

Une fois ces tâches organisées, il ne reste ainsi plus qu’à les mettre en forme dans une “to-do” . Pour cela, rien de mieux qu’un outil numérique de type “gestionnaire de tâches”. Que l’on soit adepte de Trello, d’Asana, de Notion ou de Tasks (ou tant d’autres !), l’important est que l’outil en question réponde à quelques critères, tels que :

  • lister ses tâches et vérifier rapidement ce qui a été fait ;
  • définir une échéance à une mission ;
  • identifier et attribuer une tâche à un.e collègue.

De préférence, on choisira un outil au design épuré et personnalisable afin de repérer aisément les urgences et différencier les missions par catégories.

Vient alors le moment de déléguer. Vous connaissez sans doute le proverbe « Seul, on va plus vite ; ensemble, on va plus loin ». C’est exactement ce dont il est question ici ! Assurément, en plus de permettre de se concentrer sur les tâches à forte valeur ajoutée, la délégation peut permettre un gain de temps insoupçonné tout en offrant une chance à ses collègues d’être impliqués dans des projets intéressants.

S’il est pour cela important de pratiquer le lâcher-prise, une partie du processus de délégation nécessitera également de déterminer les forces de chacun.e de ses collègues. Il faudra alors s’assurer, d’une part, que les membres de l’équipe à qui le travail est confié disposent des compétences requises dans le domaine concerné et, d’autre part, que cette délégation leur offre l’opportunité de monter en compétences. Enfin, si le fait de déléguer requiert de faire confiance, la vérification reste essentielle au processus, de même que le sont la communication et le feedback !

Gérer efficacement son temps fait partie des ressources les plus appréciées des apprenants pour en apprendre davantage sur les méthodes de priorisation.

Enjeu éthique : maintenir un environnement de travail inclusif et diversifié

Le monde du travail évolue en fonction de nos sociétés et de nos mœurs. Alors que divers mouvements obligent les entreprises à se positionner sur des questions essentielles agissant sur l’ouverture d’esprit de chacun et le bien-être de tous, de nouveaux défis émergent.

Parmi ces derniers : la diversité et l’inclusion dans le milieu de travail. Et ce défi n’est pas des moindres puisque, comme le souligne la CEO du cabinet de recrutement The Allyance, Caroline Therwath-Chavier, en France, et plus généralement en Europe, on ne sait donner une définition précise de ces termes. Il est néanmoins possible, selon l’experte, de les définir comme tel : la diversité serait la capacité, pour une entreprise, à s’assurer de disposer en son sein de gens divers. D’un autre côté, l’inclusion serait la manière de garantir l’épanouissement et la performance de ces personnes dans l’entreprise.

Notons que si la discrimination est punie par la loi, l’intérêt de mener une politique de diversité et d’inclusion en entreprise va bien au-delà du cadre légal. En effet, tandis que la diversité revient à sélectionner les candidats sur leurs seules compétences et connaissances, et donc à choisir les meilleurs talents sur le marché, l’inclusion favorise, quant à elle, la cohésion et l’esprit d’équipe. Les collaborateurs ainsi intégrés et valorisés pourront créer un véritable lien avec leur entreprise, réduisant naturellement le turnover. Tout cela participant par la même occasion à l’attractivité et la rétention des talents ! Et s’il est possible pour les managers et fonctions RH de mettre différents outils en place pour créer un véritable sentiment d’appartenance et une cohésion d’équipe (réunions d’échange régulières, ateliers de team building, afterworks…), l’inclusion ne doit pas venir uniquement d’eux, et tous les collaborateurs peuvent et doivent y participer.

Ce sont avec certitude à la fois l’organisation et les individus qui la composent qui font la différence et agissent d’un commun effort pour le respect de ces valeurs.

N’hésitez pas à consulter la ressource sélectionnée par nos apprenants, Diversité et inclusion, de quoi parle-t-on ? pour en savoir plus sur ces notions !

Entreprise et émotions : un nouveau regard

Malgré le rôle important du travail dans la vie de chacun, l’idée très cartésienne selon laquelle il est possible de laisser nos émotions à la porte de l’entreprise, qu’il existe une opposition simple entre émotion et raison, persiste encore. Pourtant, de nombreux spécialistes, comme le neuropsychologue Antonio Damasio, avec son livre L'Erreur de Descartes: La raison des émotions, **ont su démontrer que les émotions ont au contraire un véritable rôle à jouer dans la prise de décision et nos relations avec autrui.

Le langage de notre cerveau n’est ni notre mental, ni notre logique, mais nos émotions. Ces dernières agissent comme un signal qui cogne à la porte de notre conscience pour nous apporter un message précis… qu’il est essentiel d’écouter !

On considère qu’il existe 4 émotions de base : la joie, la tristesse, la peur et la colère, permettant de produire des émotions composées. À ce titre, la surprise serait produite par la peur et la joie, ou par la peur et la colère. Et ces émotions n’ont pas leur place que dans notre sphère personnelle ! L’enjeu des émotions est en vérité crucial dans la mesure où elles nous permettent de répondre à notre environnement au mieux.

Cela s’explique par les quatre axes majeurs de l’intelligence émotionnelle :

  • La conscience personnelle : qui permet de distinguer ses propres émotions et, par extension, de les comprendre et les assimiler ;
  • L’empathie : qui permet d’identifier les émotions des autres et de prendre certaines décisions en tenant compte des émotions d’autrui ;
  • La maîtrise personnelle : qui permet, une fois nos émotions comprises, d’y répondre pour retourner à la joie, considérée comme notre émotion de base (c’est en effet la seule émotion que notre cerveau essaye de reproduire en permanence !) ;
  • La maîtrise des relations : qui permet de construire des liens sociaux, des relations avec les autres, et de les faire perdurer.

C’est pourquoi la capacité à identifier et exprimer ses propres émotions et accueillir celles des autres est une compétence clef, aussi bien pour les collaborateurs que pour les managers. En entreprise, cette intelligence émotionnelle peut générer de la coopération, améliorer le bien-être des collaborateurs et rendre les organisations plus efficientes. Et, heureusement pour nous, le concept d’intelligence émotionnelle n’est pas un talent inné et n’est pas fixe ! Chacun peut le cultiver et le renforcer pour l’utiliser dans tous les domaines de sa vie.

Pour mieux comprendre les mécanismes neuronaux derrière notre capacité à assimiler et à réagir aux signaux sociaux non-verbaux, consultez une des ressources du top apprenants, Comment nos émotions influencent nos décisions, par Julie GREZES.

Envie de découvrir les tops 5 et 10 du semestre ?! Contactez nos équipes pour découvrir les autres ressources en tête du classement.

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